1 fév 2010

Premiers pas dans le Queensland: the sunshine state?

Auteur: Mox | Classé dans : NSW (New South Wales), QLD (Queensland)

A l’heure où j’écris ces lignes, Roger Federer vient de remporter l’Open d’Australie, et un cyclone subtropical frappe une grande partie des côtes du Queensland, le nord du pays vivant actuellement des inondations record.

Après avoir quitté Byron Bay, le voyage de Viviane continuera le long de la côte en passant la frontière du Queensland par la Gold Coast pour finir dans la troisième plus grande ville d’Australie : Brisbane. Une fois le colis réexpédié en France nous irons faire un tour dans l’arrière-pays de la Gold Coast, en regardant les pluies torrentielles tomber sur une jungle dense et humide.

Retour sur nos dernières aventures…

Byron Bay : Ma première leçon de surf

Venir en Australie sans s’essayer au surf, c’est un peu comme passer un noël sans cadeau… Et puisque je parle de noël et de cadeau, cette année, Viviane a eu la brillante idée de m’offrir ma première leçon de surf. Il faut dire que le cadre est parfait : Byron Bay est un des lieux de prédilection des surfeurs aussi bien débutants qu’aguerris, et puis nous sommes là pour plusieurs jours, autant en profiter. Une fois inscrit à la « Black Dog Surfing School », je ne peux plus faire marche arrière, mais de toute façon, l’impatience qui me dévore est de taille et je suis déjà pressé d’être le lendemain après-midi…

Il faudra attendre le surlendemain pour pouvoir tâter la planche, car le lendemain l’école de surf me renvoie chez moi : la météo et l’invasion des « blue-bottles » (méduses cf le billet précédent d’Emilie) les oblige à annuler le cours du jour…

Le surf, activité invétéré du jeune Australien branché. Plus qu’un sport : une culture. Ici, les gens vivent avec une planche sous le bras, et dès qu’ils le peuvent, les surfeurs se jettent à l’eau pour un « ride on the waves ». A la surfschool, après un tartinage intensif et obligatoire de crème solaire, nous voilà partis sur un des spots les plus prisés des surfeurs : Tallow Beach, une plage éloignée de la ville, complètement nature, aux vagues plus où moins importantes. Sur un cours de 3h, on a droit à un bon trois quarts d’heure d’explications sur la plage, pour faire le tour des consignes de sécurités, des dangers de la mer, et de la technique de base pour monter sur sa planche. Tout le reste se passe dans l’eau, avec l’aide des moniteurs qui nous assistent pour prendre nos premières vagues, et nous surveillent pour éviter le pire : un accident.

Avec tout ce que j’avais entendu à propos du surf, je m’attendais à beaucoup plus difficile, aussi dur que de faire un ollie (saut) avec un skateboard. Finalement, le surf, une fois qu’on a bien pigé le coup pour monter sur sa planche, c’est surtout de l’entrainement, du physique, du timing, et du feeling. Il faut ressentir la mer, la vague, pour partir au bon moment, se lever au bon instant. Mais quelle folie, je ne vous raconte pas le plaisir de se sentir porté par une vague, sentir sa planche gagner en vitesse juste grâce à la poussée de l’eau… C’est décidé, dès que je peux louer une planche, je m’y remets !

Avant de quitter Byron Bay, nous irons faire un petit tour au phare, qui offre une vue magnifique sur la ville et la côte… Nous serons d’ailleurs obligés d’user nos tongs et d’y aller à pieds, car ils font tout de même payer le parking en bas du phare presque 8$, ça fait cher la photo… Ahhh la saison haute…

Nous voilà partis en direction de la frontière du Queensland, à la recherche d’un Macdo pour trouver une connexion internet gratuite, mais notre GPS a décidé ce jour là de nous jouer des tours, et nous ferons des kilomètres pour rien, et passerons une nuit de plus à Byron Bay. Allez, demain sera la bonne !

Tweed Heads et Coolangatta : La frontière du Queensland

La frontière entre le New South Wales et le Queensland est surprenante, car elle se trouve en pleine ville, et la délimite en deux agglomérations distinctes : d’un côté, Tweed Heads (NSW), de l’autre Coolangatta (QLD). Il faut savoir que le Queensland ne fait pas le changement d’heure été/hiver, du coup, il y a une heure de décalage entre les deux états, et il suffit de passer un trottoir pour avoir à changer l’heure sur sa montre ! Coolangatta est aussi le point de départ de la « Gold Coast », zone hyper branchée bling-bling, mais j’y reviendrai plus tard.

Tweed Heads est une ville morcelée par des rivières et lacs, et la traversée du centre ville ne sera pas une des plus mémorables, juste un enchainement d’immeubles, béton, centre commerciaux, avec, heureusement, quelques marinas au bord de l’eau pour nourrir l’appareil photo affamé d’une Viviane qui mitraille, et égayer ce paysage très banal et sans plus.

Mais il est temps de passer la frontière, matérialisée par un monument pyramidal, de traverser le trottoir, et de changer d’heure, pour aller marcher dans le sable blanc du Queensland. Coolangatta, un bloc de béton posé sur une plage paradisiaque… Emilie et Viviane apprécieront l’endroit, alors que moi je ne m’y plais absolument pas : on se croirait aux Sables d’Olonne ! Le plus incroyable, c’est que cette ville ne représente que les prémices de ce que nous découvrirons sur la Gold Coast, mais comme on se l’est souvent dit, c’est un petit peu ça l’Australie, on y trouve de tout. Et un point nous mettra tous d’accord : l’océan, plus beau que jamais, et qui donne qu’une envie, d’aller se jeter dedans (pour une fois qu’on a pas nos maillots de bain…). L’horizon est parsemé de gratte-ciels, et nous pensons apercevoir Brisbane, qui est censée être à une centaine de kilomètre de nous, et située dans les terres et non au bord de la mer ! Le lendemain, nous verrons que ce décor tapageur et surréaliste n’est autre que celui de Surfer Paradise, ville emblématique de la Gold Coast.

La Gold Coast : Au cœur du tourisme clinquant

La Gold Coast, que l’on peut traduire littéralement par « Côte en Or », s’exhibe. La définition du Lonely Planet est très juste : « Si la Gold Coast était une personne, ce serait Paris Hilton ». C’est le lieu phare des fans d’Ibiza, où les plages « m’as-tu vu » sont aussi peuplées que les rues, le soir, quand la fête bat son plein. On aime ou on n’aime pas ce paradis totalement artificiel, mais, en tout cas, on ne reste pas indifférent. Il faut dire que certains endroits sont complètement fumés dans le délire du confort à l’extrême, avec d’énormes maisons ultra luxueuses au bord de la rivière, ponton privatif avec un magnifique bateau stationné, tout ça au milieu des buildings plus hauts les uns que les autres…

Pour l’anniversaire de Viviane, nous nous poserons dans le plus beau camping que nous ayons fait jusqu’à maintenant, tellement bien qu’on a d’avantage l’impression d’être dans un hôtel club que dans un camping. Le plus drôle, c’est que ça restera le moins cher de tous, depuis que Viviane nous a rejoint. Le soir, Emilie nous invitera pour fêter l’occasion dans un excellent restaurant du cœur animé de Surfer Paradise, où l’on goutera à des mets difficiles à trouver en France : Kangourou, Crocodile, Emeu.

Brisbane : Dernière étape pour Viviane !

Le voyage de la maman d’Emilie arrive à sa fin, et il est temps de se rendre à la dernière étape prévue au programme : Brisbane, la troisième ville d’Australie. Le trajet ne se fera pas dans la facilité puisqu’un malheureux concours de circonstances nous fera tomber en panne d’essence sur l’autoroute, en plein embouteillage ! Heureusement, notre ami le jerricane a le ventre plein et est prêt à nous sauver la mise. Ni une ni deux, on rajoute 10 litres d’essence au bestiau pour finir notre route.

En passant non loin de Brisbane pour rejoindre le dernier camping, la vue sur la ville laisse à Viviane un goût amer : c’est moche ! On tente de la rassurer en lui expliquant qu’autour des villes australiennes, c’est souvent comme ça, mais il faut avouer que là, c’est particulièrement hideux : travaux partout, autoroutes, béton, tout ça recouvert d’un épais nuage de pollution qui nous rappellerait presque Paris…

Arrivés au camping, il fait tellement chaud que je me vois dans l’obligation de tenter pour la première fois l’installation du auvent sur le van. Le résultat est vraiment génial : nous avons droit à un petit salon de jardin à l’ombre… Quel pied !

Dernier jour de Viviane : Brisbane. Peu de gens nous ont recommandé cette ville construite dans les terres sur une rivière. Peu de choses à voir paraît-il, mais notre philosophie est de voir pour se faire notre propre opinion. Nous prenons le bus tôt le matin pour nous rendre dans la « capitale » du Queensland, et nous découvrons un réseau extrêmement bien pensé, la ville étant parsemée de gares routières, avec des plateformes d’accès.

Emilie nous a concocté une grande ballade au cœur de la ville, grâce à notre bible, j’ai nommé le Lonely Planet. La promenade nous prendra la journée complète et nous fera découvrir une ville qui vaut malgré tout le détour. La claque n’est pas aussi puissante qu’à Melbourne, et la ville n’a pas la taille et l’impact de Sydney, mais son installation au bord de la « Brisbane River » offre une traversée intéressante. Dans tous les cas, les rues sont bien plus vivantes qu’à Canberra, ça c’est sur ! Je vous laisse découvrir les photos de cette promenade très agréable sous un soleil qui se cachera en fin de journée…

Dernière soirée oblige, nous décidons de boire un coup et se faire un resto, pour finir au casino. Nous choisirons un des bars en plein cœur de Queen Street Mall pour boire un verre, et les filles joueront les grandes pour me suivre, et boiront leur litre de cidre ! Oui oui, la soirée commence bien ! La serveuse, une quebecquoise à l’accent délicieux, nous fera passer un superbe moment. Il est temps de trouver un restaurant, et comme Viviane voulait retourner au Japonais où on l’avait emmené à Sydney, je propose de « se faire un Jap’ ». Sur le chemin, on en trouve un qui répond au doux nom de « Sono », et qui à l’air, de visu, plutôt sympa… En entrant, la surprise est de taille, et de « sympa », le restaurant passe à « extraordinaire ». On se retrouve tout à coup en plein Japon, accueillis par des serveuses en kimono, qui nous font retirer nos chaussures pour nous installer à une table basse, sur des coussins. En découvrant les menus, on se dit qu’on va y laisser une bonne grosse poignée de dollars, mais bon, c’est tellement extra qu’on se laisse aller… Le bilan est implacable : les plats qui se succèdent sont d’autant plus magnifiques que bons, et le frisson culinaire est total… Celui-là, on s’en souviendra (et notre porte monnaie aussi)!

On commence à ne plus être très frais, vu la quantité d’alcool déjà ingérée, mais ce n’est pas grave, on se lance au casino ! Et il faut dire que pour finir la soirée en beauté, on la finira en beauté : Emilie, sur un coup de culot à la roulette, triplera sa mise de départ pour payer l’intégralité de la note de restaurant ! Elle est pas belle la vie ?

Pour boucler la boucle, la nuit sera très humide, très pluvieuse et ventée, les prémisses d’un certain cyclone qui ravage actuellement le nord de l’Etat…

Le lendemain, il est temps pour Viviane de retourner dans notre bonne vieille France… Et nous la remercions pour sa présence ici avec nous, mais surtout pour nous avoir fait économiser une petite fortune en reprenant un avion directement de Brisbane plutôt que de nous obliger à retourner à Sydney et de nous faire faire 2000km.

L’arrière-pays de la Gold Coast : les Hinterlands

La pluie commence à faire rage et nous force à changer nos plans. En attendant de trouver un peu de boulot dans le fruitpicking, on décide de revenir un peu en arrière et de visiter les parcs nationaux de l’arrière-pays de la Gold Coast, les Hinterlands, sorte de montagnes totalement recouvertes de forêts tropicales. Lorsque les paysages des hinterlands se profilent, on se retrouve à l’opposé total de la Gold Coast. Les immeubles s’effacent complètement, et la campagne australienne si calme et nature reprend son cours.

La première étape est le « Lamington National Park ». Après une traversée étonnante du parc national la tête dans les nuages, nous nous y arrêterons en plein cœur dans la petite ville de Binna Burra, pour une longue ballade en forêt. La végétation est incroyable : palmiers, arbres tortueux, rochers, que de découvertes ! L’humidité environnante couplée au temps pluvieux, Emilie découvre une bestiole qu’elle n’avait encore jamais vu, ventousée sur ma jambe : une sangsue ! On se rend alors compte qu’on en a plein les chaussures ! Difficile de les retirer, elles sont complètement collées à nous, et celle accrochée à l’arrière de ma jambe me laissera une plaie qui mettra presque 2h à coaguler ! Heureusement, Emilie a eut la bonne idée d’enfiler un jean et sera épargnée, alors que de mon côté, deux réussiront à me pomper le sang… On rentrera enfin au van complètement trempés par une puissante averse qui nous piègera en plein milieu du retour de la promenade.

Deuxième étape : « Mount Tamborine ». Situé un peu plus au nord, ce parc national offre une vision véritable de ce que le mot « jungle » signifie. Sur la route, Emilie en prend plein les mirettes, et la végétation luxuriante dessine un mur sur le bord de la route. Les petits villages que nous traversons sont tout aussi magnifiques, remplis d’énormes propriétés toutes plus belles les unes que les autres. Les ballades se feront malheureusement encore une fois sous la pluie, mais nous offriront des vues spectaculaires sur des cascades, des piscines naturelles, et des torrents gonflés par l’eau de pluie, et jaunis par les coulées de terre.

Nous voilà de retour dans le superbe camping que nous avions expérimenté avec Viviane, posés en attendant que le temps se calme, sur quelques pistes de travail : il semblerait qu’ils cherchent du monde pour la cueillette du gingembre, on va en chier !

Pour finir ce billet, pas de minute blonde cette fois-ci, la blonde est restée très sérieuse et studieuse ces derniers temps, les quelques gags étant passés au travers des mailles du filet… Mais pour faire vivre ce billet un peu plus longtemps, je demande à Viviane de nous raconter, dans un commentaire, son ressenti sur ses 17 jours avec nous, maintenant qu’elle est rentrée en France.

As-tu apprécié ton voyage ? L’Australie t’a-t-elle fait rêver ? Que penses-tu des Australiens maintenant que tu en as rencontré plein ? Qu’est ce qui, pour toi, représente le mieux ce pays après ta traversée rocambolesque ? Comment as-tu vécu la vie en van ? As-tu des anecdotes à raconter ? A toi de jouer !

Sur ce, seeya mates !

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15 réponses à “Premiers pas dans le Queensland: the sunshine state?”

  1. m@d Dit :

    La vache le choc quand je t’ai vu le poil raz te dresser fièrement sur tes 1,2,3,…. 4???? pattes!!! WTF???? ;) Bisous à tous les deux

  2. Al Dit :

    Quel beau billet encore une fois les loulous, superbes photos et belles écritures :)

    A tres vite

    Al’s family stc etc

  3. maya89 Dit :

    Magnifiques photos com d’ab belles avantures pour ta mere qui revais de ça depuis tant d’annees j’espere quelle est heureuse ! pour moi tu est la plus belle des filles qui existe au monde tu est tres tres belle je t’aime tres fort j’ ai hate de te revoir et toi aussi mon gamain je t’ aime !!!

  4. viviane Dit :

    Et bien oui je suis rentrée en France, très nostalgique de tout ces souvenirs Australiens! Oh que non je n’ai vraiment pas été déçue de mon expérience dans ce pays lointain certe, mais néanmoins très hospitalier.Je ne m’attendais pas à tant de beautés en paysage,sites,végétations:tout est beau ,il faut avouer que depuis l’age de 15 ans je révais de l’Australie,et c’est ma fille qui m’adonné l’occasion de venir découvrir ce pays!!!
    Aujourd’hui, j’ai pris le temps de revoir toutes les photos que j’ai prises là bas (plus de 700) car je ne veux surtout pas oublier ce que j’ai vécue…
    Quant aux Australiens, je crois qu’on peut encore prendre des leçons de civisme(nous les Français!)car j’ai rarement vu des gens aussi simples qui ne se prennent pas la tète pour des pécadilles!
    moi qui suis quand meme ,il faut l’avouer une vraie citadine,je reconnais que toute cette nature est beaucoup plus apaisante que les soldes en ville en France….
    pour ce qui est des anecdotes Sylvain,bien entendu ,il ne m’en vient pas comme ça mais je promets que si quelque chose me revient en mémoire ,j’en ferai part à tout le monde!
    Je voulais vous remercier tous les deux pour votre gentillesse de m’avoir accepté avec vous (surtout toi Mox, car, la belle mère c’est peut etre pas toujours évident !)vous etes tous les2 deux jeunes adorables qui avez suporté maman et belle maman sans jamais vous plaindre!!!!!
    J’ai vraiment hate de vous suivre dans de nouvelles aventures Australiennes,car maintenant ,je sais un peu ce que c’est …
    MERCI ENCORE MILLE FOIS POUR CES MOMENTS MERVEILLEUX ET INOUBLIABLES!!!!!………

  5. viviane Dit :

    anecdote qui me revient:Mox , n’oublie plus jamais la jauge de carburant, ça évite peut etre de marcher (à pieds)et surtout de faire peur!!!! (mes tongs auraient pu etre usées…

  6. kikie Dit :

    Un petit coucou de chez nous où je prépare notre déménagement… Ce sera pour le mois d’Avril. Mox en regardant les photos de toi en surfeur j’ai cru voir Kelly Slater (en plus beau lol). Si je peux me permettre un petit conseil le short est peut être un peu trop voyant (cf Brice de Nice …;-)) Mi tu vas bientôt être plus noire que moi mais Dieu que tu es belle et radieuse, ça fait vraiment plaisir!!
    Tata m’a donné mon petit cadeau made in Australia qui ne me quitte déjà plus et qui me fait penser chaques jours à vous (non pas que je n’y pensais pas bien au contraire!!) Bref, vous êtes beaux tous les deux mais quand même ça commence à faire long. Je suis un peu déçue de ne pas pouvoir vous avoir avec moi pour fêter mes 30 ans mais bon on se rattrapera quand vous rentrerez…
    Toujours aussi impatiente de lire vos aventures, Amélia et moi vous envoyons d’énormes bisous.

  7. caroleclement Dit :

    bonjour les zamoureux !
    on rêve tjrs devant le blog.
    Merci pour la carte postale et les supers
    timbres!
    Mémé n’a pas reçu les photos mais je vous tiens au courant.
    Sinon, comme je récupère vos photos sur le blog, je leur graverai un CD à l’occasion.
    bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx de nous tous à vous deux ‘ça vaut bien une toilette !!! lol mdr)

  8. caroleclement Dit :

    hello ! c’est encore moi…
    Mémé vient de tél. ils ont reçu les photos et sont très contents de vous voir en forme !
    ils vous disent MERCI et vouis font pleins de bisouxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

    PS: bien sûr, ils trouvent les photos sublimes !!!

  9. Mox Dit :

    Ahhh je suis ravi que tout soit bien arrivé! On a eu la chance de tomber sur une poste qui vend des timbres de collection à Brisbane! On avait peur que les timbres se fassent squizzer sur la route pour la France, mais finalement non, c’est une excellente nouvelle!!
    Une grosse bise!!

  10. Alkoomie Dit :

    Ouh là je crois que le tonnerre va compromettre ma lecture ce soir… Si c’est le cas, tant pis, je verrais la suite demain, il ne me reste pas beaucoup à lire now !

    Alors j’ai adoré la photo du chien sur la planche et aussi celle avec les apprentis surfeurs !

    Et j’ai 3 questions hi hi ^^

    > Les bule bottles, Emilie, tu dis savoir ce que ça fait, tu as été brûlée ? Et ça risque rien “mise à part la brûlure” ??

    > Avez vous le nom du “fabuleux camping” ? que je le note, sait-on jamais !

    > Vous avez pu faire une photo de vous 2 alors qu’il n’y a plus la maman d’Emilie, vous avez un trépied ? ou pas du tout ?

  11. Mimie Dit :

    Et oui, les blue bottles, ça fait TRES mal… J’en ai été victime comme beaucoup de gens sur la plage de Byron Bay à cette période. Au-delà de la douleur lancinante, c’est totalement sans danger. A noter, évite de te baigner là où il n’y a personne, c’est suspect et il y a tellement de plages surveillés qu’on aurait tord de s’en priver. Surtout que les sauveteurs mettent toujours un petit panneau avec la température de l’eau, s’il y a des courants et des méduses ou autre désagréments.

    Notre camping s’appelle “Treasure Island”, voici le lien internet :
    http://www.treasureisland.com.au/

    Pour la photo de nous deux, comme tout touriste qui se respecte, on demande au passant!

  12. Alkoomie Dit :

    Pour le site du camping du coup je l’ai vu dans l’autre billet ! ;-) Merci ! C’est une adresse à noter !

    Oki pour les blue bottles, je vais faire attention ! Même ici je ne m’aventure pas à me baigner n’importe où alors encore plus là bas !!

    “Contente” en tout que ça s’en arrête à une forte douleur et qu’il n’y a pas plus de complications ! Ca te laisse une trace ? Ca te fait mal longtemps ?

  13. Alkoomie Dit :

    Ah et j’ai oublié pour la photo, en fait, j’avais trop l’impression que vous étiez seuls plus que seuls là où vous vous êtes fait photographier ;-)

  14. Mox Dit :

    Coucou Alkoomie!

    Alors pour les blue bottles, la trace d’Emilie est restée 4 jours, et la douleur s’estompe progressivement quand tu te fais piquer au bout d’une heure ou deux pour une petite piqure. Mais tu as souvent des lifeguards avec un peu de glace pour calmer tout de suite la douleur.

    Petit conseil, quand tu va te mettre à l’eau, jette toujours un coup d’œil à ce que la mer écume sur le sable, les blue bottles tu peux pas les louper, quand il y en a, elles s’échouent en masse.

  15. Alkoomie Dit :

    Ouh là ! En vadrouille quelques jours, faut que je me remette à la lecture ! D’autant qu’il m’en reste plus tant que ça : 2 pages ;-) Et je vois que vous avez mis un nouveau billet !

    Le départ approche, ça doit vraiment vous faire bizarre…

    Oki pour les Blue Bottles ! Je crois qu’avec tous les conseils que vous m’avez donnés, je vais les noter pour ne rien oublier !! hi hi ^^

    Merciii !

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