28 mai 2010

La pièce manquante de la côte ouest

Auteur: Mimie | Classé dans : WA (Western Australia)

Plus de 2 semaines sans nouvelle, et pourtant l’aventure continue à l’autre bout de la planète ! Cette longue absence est synonyme d’un billet chargé qu’il nous tarde de vous raconter. Nous sommes enfin arrivés à Perth, cette ville coupée du reste de l’Australie qui compte pourtant plus d’un million et demi d’habitants. 1 300 kilomètres nous séparent d’Exmouth et nous avons maintenant une vision plus claire de ce qu’est la côte ouest : des étendues de grand désert parsemées de sites à ne pas manquer et de plages somptueuses. Pour une fois, la configuration est différente puisque Svenia, l’Allemande que nous « liftons » nous accompagnera jusqu’à Perth où nous la déposerons à l’aéroport, fin du trip australien pour elle. Durant ces deux dernières semaines, j’aurai aussi réalisé l’un de mes plus grands rêves…

Coral Bay, la station balnéaire du Ningaloo Marine Park

Imaginez, nous quittons Exmouth et son Cape Range sauvage, sans aucune commodité, un joyau de la côte ouest. 150 kilomètres plus bas, il y a Coral Bay, cette dernière « ville » (les guillemets ont toute leur importance puisqu’il a peu d’habitants, juste ce qu’il faut pour accueillir les nombreux touristes) où nous pouvons encore nous baigner dans le « Ningaloo Marine Park ». Nous avions rencontré un couple d’Italiens à Broome qui nous avait conseillé d’y aller, car d’après eux, « Exmouth c’est de la merde, il faut aller à Coral Bay ». Après ce qu’on a découvert au Cape Range, on se dit qu’ils ne sont manifestement pas allés jusque là, mais bon, nous nous attendons quand même à un nouveau paradis. En fait, Coral Bay, c’est un immense complexe camping-hôtelier posé sur une plage du parc marin, foulée par des milliers de touristes qui préfèrent le confort d’un « resort » plutôt que la nature à l’état brut. Pour nous, ce sera la déception, un garage à touristes hors de prix où les gens se parquent les uns à côté des autres sur ce paradis artificiel sans aucune saveur. On est loin du snorkelling du Cape Range, les coraux ont perdu leur couleur, les poissons ont déserté les fonds, et même si les eaux turquoises sont magnifiques, le constat est sans appel, nous n’y resterons pas plus d’une journée.

Carnarvon, la ville du fruitpicking du Western Australia

Entre Coral Bay et Shark Bay (nous y reviendrons juste après), il y a Carnarvon, où l’on s’arrête pour deux raisons : faire le plein de provisions ou chercher du travail. En effet, sachez qu’autour de cette ville, il y a beaucoup de plantations et de cultures qui représentent 70% de la production agricole du WA. Au-delà de ça, il n’y a pas grand chose à faire… Sylvain se fera (ENFIN !) couper les cheveux, Svenia mangera pour la première fois des noix de st jacques (vraiment pas chères et excellentes ici) et nous ferons une (trop) longue promenade le long de l’ancienne voie de chemin de fer jusqu’à la jetée, qui, à notre grande surprise sera payante, nous ne ferons donc que la regarder de loin… Autre fait majeur qui donne un nouvel aspect à notre voyage, nous avons passé le « Tropique du Capricorne », troquant avec lui nos shorts et t-shirts pour quelques jeans et pulls car les soirées sont d’un coup plus fraiches. Cette fois, ça y est, l’hiver arrive.

Shark Bay : un lieu touristique écologique

Nous quittons tôt le matin Carnarvon, dans l’idée de pouvoir visiter quelques sites de Shark Bay avant d’atteindre Denham pour y passer la nuit. Le ciel est bleu, le soleil pointe le bout de son nez, la météo est idéale. A bord du Mimiemox Wagon, nous découvrons pour la première fois un décor que nous nous attendions à trouver dans le centre : un désert de sable et rien d’autre à perte de vue. Un superbe lookout nous permet d’apprécier une vue illimitée sur ces étendues arides que nous dégustons avec avidité à défaut d’avoir vu un « red center » vert de végétation. Un petit repas pas cher (la serveuse s’est trompée quand elle nous a rendu la monnaie et nous n’avons donc payé notre repas qu’un dollar) dans une roadhouse posée dans la poussière au milieu des chèvres et nous pouvons bifurquer pour Shark Bay.

Shark Bay est une sorte de langue de terre avec plusieurs sites touristiques axés sur l’écologie de la baie. Ici, on se promène, on regarde mais on ne ramène rien à la maison et on ne se baigne pas car nous sommes dans un endroit classé « patrimoine du monde ».

Le premier site permet d’observer des « Stromatolites ». Ces formations bactériologiques ressemblent à de petits rochers et sont apparues il y a 2 milliards d’années. Ces témoins passifs de l’évolution humaine auraient joué un rôle majeur dans l’écosystème car ils produisent de l’oxygène à partir de gaz toxiques. On peut d’ailleurs apercevoir de petites bulles remonter à la surface. Avant d’arriver sur le site, nous découvrons l’un des miracles de la sédimentation : des rochers de coquillages taillés par l’homme pour faire des briques et construire des maisons. La promenade sur la jetée, parsemée d’explications sur les stromatolites, offre un paysage unique baigné dans des eaux cristallines.

L’une des particularités de Shark Bay, ce sont ces plages constituées de petits coquillages, le plus bel exemple étant « Shell Beach », une immense étendue qu’on pourrait confondre avec du sable, et pourtant… Il suffit de s’approcher du sol et d’en prendre une poignée pour comprendre qu’il n’en est rien et que ces touts petits coquillages recouvrent entièrement les environs. Balayée par les vents, la plage arbore une succession de dunes de mini coquilles et les eaux protégées par la baie sont d’un calme des plus impressionnants.

Les points de vue suivants accessibles par des routes accidentées confirment la règle : des plages de coquillages, des promenades construites le long de la mer pour admirer les eaux turquoises du parc marin et une roche rougie par la lumière du soleil qui se couche à l’horizon. Nous terminons sur Eagle Bluff qui porte bien son nom, puisque les promesses de pouvoir apercevoir une faune marine unique (dugongs, etc) sont loin d’être exaucées… Mais bon, nous n’allons pas nous plaindre, c’est tellement beau !

La ville de Shark Bay, c’est Denham, minuscule bourgade pleine de charme, construite sur un front de mer. Le Lonely Planet nous aura mis l’eau à la bouche avec son musée soi-disant interactif. Quel ennui ! Et en plus, je n’arrivais pas à faire sortir mon chéri qui, lui, avait l’air passionné. Le soir, nous irons diner en amoureux dans un restaurant fabriqué en briques de coquillages. La déco intérieure est très réussie, nous nous sentons presque comme à la maison, si bien que nous dégusterons la spécialité du chef : la langouste sauce Mornay (délicieux !).

Monkey Mia : un rêve exaucé

Le matin de notre deuxième journée à Shark Bay, nous nous levons tôt pour aller à Monkey Mia. Ne vous y trompez pas, il ne s’agit aucunement d’un endroit où l’on peut voir des singes faire la grimace… C’est un site très connu en Australie pour pouvoir approcher de très près ce magnifique mammifère qu’est le dauphin. Je me sens toute excitée rien que d’y penser. Je vais les voir à moins de 2 mètres de distance, vous vous rendez compte ! J’en rêve depuis que je suis toute petite. Il faut savoir que Monkey Mia est un complexe hôtelier qui finance un centre de recherche sur les dauphins et tous les matins, les séances de nourrissage attirent des centaines de touristes. Nous y sommes, l’eau est à 15°, mais ça m’est égal, je remonte le bas de mon jean, et je ne ressens même pas le froid saisissant. Tout ce qui m’importe, c’est d’être au plus près du spectacle. Il y a beaucoup de monde, ce n’est pas évident de se frayer un chemin. Une fois les dauphins nourris, ils s’éloignent et disparaissent au large. Je serai quelque peu désabusée, trop loin, je n’ai pas pu voir grand chose… Je me retourne alors un peu déçue vers mon chéri et c’est là qu’il s’écrie : « Regarde, il y en a d’autres qui arrivent !! ». Miracle, ils sont presque à mes pieds, cette fois-ci, je suis aux premières loges !!!! Et cette deuxième séance sera chargée en émotion. Rien d’autre n’existe, je suis dans ma bulle.

Cette fois, les dauphins s’éloignent pour de bon, retour à la réalité. Je suis secouée, tellement heureuse d’avoir vécu ce moment. Sylvain nous propose à Svenia et moi-même une balade le long de la plage afin de se rapprocher des falaises rouges du « François Peron National Park » que nous ne pourrons explorer, faute d’avoir un 4×4. Le mélange de couleur est absolument incroyable, c’est comme si la terre rouge laissait place au sable blanc inondé de lumière d’un soleil levant.

Nous nous sommes levés tellement tôt que nous n’avons pas pris le temps d’avaler un petit déjeuner. Il nous reste un site à visiter à Shark Bay : « Little Lagoon », un lac d’eau salée à deux pas de la mer. Sylvain nous propose de poser le van là-bas afin de déjeuner en pleine nature. Sur place, le site est totalement désert. Seuls quelques oiseaux profitent de ce calme reposant. Svenia nous propose de nous concocter un porridge. Et ce sera pour moi une révélation. Enfin, j’ai trouvé quelque chose dont je n’arrive pas à me passer le matin, depuis cette dégustation au little lagon. L’instant est privilégié et nous finirons notre bol les fesses posées dans le sable avec la nature pour nous émerveiller.

Kalbarri : un savant mélange entre les falaises du Victoria et les étendues du NT

Nous revoilà partis sur la route, 400 bornes monotones pour changer… La prochaine destination est un parc national : à peine arrivés au « Kalbarri National Park » et le décor change totalement. C’est le retour des eucalyptus et des gorges presque asséchées, les murs de roche rouge surplombent les eaux marécageuses de la rivière. Du haut des points de vue, nous pouvons apercevoir de nombreux oiseaux, aussi bien échassiers que carnassiers. Sylvain est quelque peu déçu de ne pas pouvoir faire le site le plus connu du parc national, un rocher qui forme une fenêtre naturelle, à cause d’une route non revêtue et particulièrement difficile à emprunter (si seulement ils savaient ce que c’est qu’une route plate dans ce pays !). Mais bon, je lui remonte le moral et lui fais prendre conscience que la journée a été suffisamment riche en panoramas.

Le soir, nous nous arrêtons à Kalbarri, la ville du parc national pour passer la nuit. Nous ne nous attendions pas à atterrir dans un endroit aussi charmant. Après avoir fait quelques courses, nous profitons du coucher du soleil sur la plage. Petite anecdote rigolote : à peine entrée dans ma cabine de douche, j’entends mon chéri qui m’appelle. Apparemment, il faut que je vienne voir ça dans les sanitaires des hommes ! Il faut savoir que Sylvain s’était gentiment installé dans sa douche quand, une fois en caleçon, il lève la tête et se rend compte qu’il est nez à nez avec une « Red Back », une des araignées mortelles les plus connues du pays… Voilà ce que mon chéri voulait absolument me montrer et je m’en serais bien passée !!

Kalbarri c’est aussi une route le long de falaises vertigineuses, non sans rappeler la « Great Ocean Road » du Victoria. Ce matin, le ciel est un peu couvert et Sylvain est tout excité car les nuages semblent sculptés pour offrir des panoramas magnifiques. La mer est agitée, les rouleaux se brisent sur la roche, quelques photos de la ville et il est temps de reprendre la route vers les nombreux points de vue sur les falaises.

Le premier stop se fait sur un spot convoité par les surfeurs aguerris qui n’ont pas peur de boire la tasse. Il fait un peu frisquet ce matin et Svenia et moi-même décidons d’admirer le paysage à travers la vitre du Mimiemox Wagon pendant que Sylvain prend ses photos. Je peux vous assurer que je ne l’ai pas quitté des yeux… Imaginez des vagues de plusieurs mètres de haut et votre chéri qui se précipite au bord pour « capturer » la violence de cette nature déchainée en risquant lui-même de se faire happer ! Il a eu droit à sa petite soufflante à son retour.

De nombreux lookouts donnent à voir des falaises plus différentes les unes que les autres, dont la roche parfois bordeaux, parfois orange, peut aussi passer par des teintes jaunes et même roses. C’est fou à quel point l’érosion a pu ciseler voir percer la pierre qui laisse échapper de fins jets d’eau lorsque les vagues se brisent dessus. C’est un vrai festival de couleurs aussi inattendu que spectaculaire. Laissez-vous porter par la galerie photo mais aussi par une petite vidéo brute de la mer déchainée.

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La route s’achève sur un autre « bluff », le Pink Lake aux eaux soi-disant aussi roses qu’une barbe à papa. Au final, c’est un lac parsemé de plaques rosées stagnant presque en surface. Sachez que nous avons pris en photos les parties les plus roses que nous avons trouvées.

De Geraldton au désert des Pinacles : beaucoup de contrastes en peu de kilomètres

Arrivés à Geraldton, c’est un premier retour à la civilisation avant Perth : une grande ville, des centres commerciaux, des fast-food, tout ça construit autour d’un immense port industriel. C’est un endroit qui ne nous marquera pas plus que ça, un étrange mélange architectural sans ligne suivie où nous prendrons quand même quelques clichés du Hmas Sydney Memorial qui offre une belle vue sur l’ensemble de la ville.

Nous nous rapprochons de plus en plus de Perth. Il ne nous reste plus que le désert des Pinacles à visiter, et la route pour s’y rendre est plutôt agréable. L’itinéraire suit un parcours le long d’une côte verdoyante jonchée de plages absolument magnifiques. Le clou du spectacle sera Jurien Bay, petite cité balnéaire qui arbore des paysages sauvages parsemés d’oiseaux marins. Nous voyons défiler de nombreuses dunes de sable blanc posées ça et là au milieu de la végétation et un point de vue à 360° en haut d’une colline nous permet de réaliser l’ampleur du spectacle.

Arrivés au désert des Pinacles, le décor est lunaire. Le sable est jaune très vif, jonché de pinacles de pierre qui se dressent par milliers à perte de vue. Une petite route balisée par des roches permet de se promener tel un safari dans un désert africain. Le plus incroyable est d’apercevoir la mer au loin. Le Mimiemox Wagon s’amusera à faire quelques glissades dans les virages sablonneux du parc.

Dernière ligne droite, plus que quelques kilomètres et nous y sommes : Perth, la grande ville de la côte ouest. Cette fois, c’est un bain de civilisation que nous avions oublié depuis Brisbane avec le grand retour des buildings, des « suburbs » mais cette fois, c’est une toute autre saveur, comme un parfum de Californie. Nous nous posons dans notre camping, dernière soirée pour Svenia qui doit ce soir prendre son avion afin de retourner en Allemagne. Signe du destin, le téléphone sonne : Audrey et Maxime nous rejoignent et partageront cette dernière soirée avec nous trois, coïncidence remarquable vu que nous n’avions jamais réussi à nous retrouver sur la route entre Exmouth et Perth. Cette soirée se passe dans une ambiance de parties de Yathzee endiablées. Et d’ailleurs, Svenia refuse de prendre son avion si elle n’arrive pas à aligner cinq dés identiques sur une partie. Ouf ! Peu de temps avant l’heure fatidique, c’est le Yathzee, elle peut rentrer !!

Nous voici donc enfin à notre destination et le prochain billet annonce une visite de la ville plutôt chouette et accompagnée de nos deux amis français qui passeront leur dix derniers jours avant de partir pour Bali avec nous!

La minute blonde !

Premier soir de notre lift, la blonde décide de montrer ses talents de blonde. Et lorsqu’elle attrape le papier d’alu, c’est tout le rouleau qui tombe et se déroule dans le camping: tapis gris pour Svenia!

Les températures ont baissé, et le soir, la blonde prépare une soupe instantanée bien chaude pour son chéri et elle-même. Mais quand il faut verser la poudre, la blonde se trompe, et verse les deux sachets dans la même tasse!

En Australie, il y a un interrupteur sur chaque prise électrique.  Et lorsque je demande à la blonde de vérifier la prise parce qu’il n’y a pas de jus, bien entendu, elle vérifie uniquement si le câble est bien branché, alors qu’il suffisait d’appuyer sur le bouton!

EXCLUSIF: “La minute châtain claire”, parce qu’une blonde sommeille dans chaque femme (merci Audrey pour celle-ci). Nous nous promenons en ville, et la “ni brune ni blonde” (la châtain claire quoi) nous dit : “Oh regardez! Un mime!”. Forcément on éclate de rire en s’apercevant que c’est en fait une statue. Malheureusement pour elle, il y a beaucoup de “mimes” à Perth…

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10 réponses à “La pièce manquante de la côte ouest”

  1. Al Dit :

    Waouhhhhhhhhhhhhhhhhh…..

    Je me rends compte que de ne pas avoir de vos nouvelles depuis quelques jours, votre absence se (re) faisait sentir durement (c’est français ça?).

    Dis donc , bien entouré le Mox non? Tu ne nous a pas dit le plus important concernant Svenia…

    At home tout va bien, Salomé est rentrée ce matin d’Espagne après un séjour de 10 jours, Esté commence à réviser son Bac,Romane envisage un retour de quelques mois at home et Pascale se prépare pour notre prochain entrainement de Course A Pied prévu demain matin à l’aube.

    Grosses bises les Loulous

    Al’s Family qui roxx

  2. fannette Dit :

    merci pour ce billet.
    bizooooooo
    fannette

  3. m@d Dit :

    Franchement cette côte Ouest est magnifique j’en bave à chaque fois huhu.

    Bisous les ptits loups

  4. marie Dit :

    mon dieu c’est magnifique!!!!!!!!!!!!!!
    Mimie tu es bientot aussi coloré que ta cousine.
    tu respire le bonheur…..
    j’envie l’épisode dauphins
    gros bisous a vous deux

  5. kikie Dit :

    Toujours aussi magnifoque blablabla et blablabla. Est ce que pour une fois vous n’avez pas quelque chose de moche à nous montrer ?? lol
    Bon beh niveau temps, pour nous c’est toujours l’hiver!!!

    Gros gros bisous et à bientôt pour de nouvelles aventures.

    MOUAHHHHH

  6. maya89 Dit :

    coucou! Je suis rentré de corse dimanche soir et beaucoup de choses à faire : lessive et ranger tout plus le jardin à faire , la pelouse à tondre, que du bonheur! J’oubliais et maya à laver et à tailler les poils et les ongles. Je voulais vous féliciter pour vos deux derniers billets qui sont top!!! bisous à vous et à bientot sur skype…

  7. Viviane Dit :

    Coucou les Australiens! je n’ai pas eu le temps de lire le dernier billet mais sachez que je ne vous oublie pas… Et puis ça me donnera l’occasion supplémentaire de marquer un autre petit mot!!! KISSS A VOUS DEUX

  8. Bibiche Dit :

    coucou tous les deux, super magnifique. les mots existants ne sont pas assez forts pour mon ressentir. je viens faire une visite tous les jours sur votre billet . C’est GENIAL BISOUS
    Nadège

  9. Mémère Loulou Dit :

    je viens de refaire une promenade avec vous c’est super beau. Vous avez beaucoup de chance. je vous ambrasse tous les deux.
    mémère loulou

  10. Viviane Dit :

    Je viens enfin de regarder votre billet, je sais vous en avez marre, on vous répète toujours le meme chose : photos magnifiques!!!
    Mais moi ,à part le moment dauphins ou j’aurai aimé partager ça avec toi Mimie, je préfère la cote est ,la cote ouest est un peu trop aride!!! continuez votre trip!!! kisssss à vous deux!!!

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